Marketing publicitaire

Les gouvernements ont besoin de publicités pour persuader les individus de fumer moins, de boire moins, etc.

Les habitudes et les attitudes que les organisations publiques cherchent à changer sont souvent profondément ancrées chez les individus, et les avantages que ces organisations peuvent promettre sont souvent lointains. Il est plus difficile de persuader un fumeur d’arrêter de fumer des Marlboro que des Camel.

Le marketing auprès du grand public

Le marketing reste un outil puissant. Le champ de bataille est de plus en plus la société civile dans son ensemble, plutôt que le marché.
Avant tout, le marketing grand public est un marketing de la crédibilité. Le point de départ est un rapport rédigé par S. Nora en 1967.

Il est aujourd’hui reconnu par la gestion publique, qui se renouvelle après avoir été remise en question. Parce qu’aucune des grandes entreprises publiques ne dispose d’un véritable monopole, elles ont besoin de marketing. Le marketing social a un impact important sur le marketing public (campagnes contre le tabac, pour la ceinture, etc.). En revanche, les grandes causes nationales aux États-Unis sont largement le fait de sponsors privés.

Le marketing participatif est l’avenir du service public, selon le site community manager paris. En développant la composante interactive, il est important de passer de l’administré (sujet, abonné…) au partenaire. Pour les impatients ou les dominateurs, le chemin court du décret est toujours une option tentante. La RATP et La Poste en sont deux excellents exemples. En raison de la nostalgie des nostalgiques du fief administratif, le marketing public est autorisé mais pas toujours mis en œuvre. La formulation de demandes sociales collectives ne peut être l’objectif du marketing. La main qui manie l’instrument n’est pas l’outil lui-même.